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Myrtle FILLMORE : Comment J'ai Trouvé La Santé

Myrtle Fillmore How I Found Health
Traduit par France Anne Dorrmann

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« J’ai fait ce qui me semble être une découverte. J’étais très malade. Je subissais tous les tourments du corps et de la raison que je pouvais supporter. La médecine et les docteurs avaient cessé de pouvoir me soulager et j’étais au desespoir, jusqu’à ce que je trouve ce que j’appelle la Chrétienté pratique. J’ai affirmé mes croyances, et je fus guérie. Je procédais à la plus grande part de la guérison moi-même, parce que je voulais comprendre, pour plus tard. C’est de la manière suivante que j’ai fait ma découverte :

Je pensais à la vie. La vie est partout – dans les animaux et dans les personnes. « Alors pourquoi la vie, dans un animal, ne fait pas un corps semblable à celui d'un humain ? » je demandais. J’ai alors pensé : « l’animal n’a pas autant de notions qu’un humain ». Ah, l’Intelligence, de même que la vie, est requise pour faire un corps. C’est la clé de ma découverte : La vie doit être guidée par l’intelligence pour faire les formes. La même loi fonctionne dans mon propre corps. La vie est juste une forme d’énergie, et elle a à être guidée et dirigée dans le corps d’une personne par son intelligence. Comment communique t-on l’intelligence ? Par la pensée et la parole, bien sûr. Alors, il m’est apparu que je pourrais parler à la vie dans chaque partie de mon corps et lui faire faire ce que je voulais. Je commençais à enseigner à mon corps et j’eus de merveilleux résultats.

Je dis à la vie dans mon foie qu’elle n’était pas engourdie ou inerte mais pleine de vigueur et d’énergie. Je dis à la vie dans mon estomac qu’elle n’était ni faible ni inefficace, mais énergique, forte, et intelligente. Je dis à la vie dans mon abdomen qu’elle n’était plus infestée par des idées ignorantes de maladie, mises là par moi-même et mes docteurs, mais qu’elle était bien vivante, couplée avec la douce, pure, complète énergie de Dieu. Je dis à mes membres qu’ils étaient actifs et forts. Je dis à mes yeux qu’ils ne se voyaient pas, mais qu’ils exprimaient la vision de l’Esprit et qu’ils s’inspiraient d’une source illimitée. Je leur dis qu’ils étaient des yeux jeunes – de clairs, brillants yeux, parce que la lumière de Dieu brille à travers eux. Je dis à mon cœur que l’amour pur de Jésus-Christ coule dans ses battements et que le monde entier peut sentir sa joyeuse pulsation.

J’allais dans tous les centres de vie de mon corps et leur parlais des mots de Vérité – mots de force et de pouvoir. Je leur demandais pardon pour la course insensée, ignorante que j’avais suivie par le passé, quand je les condamnais et les nommais faibles, inefficaces, et malades. Je ne me décourageais pas face à leur lenteur à se réveiller, mais continuait droit devant, silencieusement ou à haute voix, déclarant la Vérité jusqu’à ce que les organes répondent. Et je n’oubliais pas non plus de leur dire qu’ils étaient libres, d’Esprit illimité. Je leur dis qu’ils n’étaient plus en servitude de la pensée charnelle ; ils n’étaient pas de la chair corrompue, mais des centres de vie et d’énergie omniprésents.

Puis, je demandais au Père de me pardonner pour avoir pris Sa vie dans mon corps et de l’utiliser si inutilement. Je lui promis que je ne retarderais plus jamais, jamais le cours libre de cette vie à travers mon mental et mon corps par n’importe quelle pensée ou mot faux ; que je bénirais cette vie et que je l’encouragerais avec des mots et des pensées vrais, toujours, en sagesse pour bâtir le temple de mon corps ; que j’utiliserais celui-ci avec toute l’assiduité et la sagesse pour le guider vers ce que je voulais.

Je vis aussi que j’utilisais la vie du Père en pensant des pensées et en parlant des mots, et je devins très vigilante quant à ce que je pensais et disais. Je ne laissai pas des pensées anxieuses ou inquiètes entrer dans ma raison, et j’arrêtais de parler avec des mots de commérage, frivoles, irrascibles ou colériques. Je laissais monter une petite prière chaque heure, disant que Jésus-Christ était avec moi et m’aiderait à penser et à parler seulement des mots aimables, aimants, vrais ; et que j’étais sûre qu’Il était avec moi, parce que me sens si en paix et heureuse maintenant.

Je veux que chacun soit informé de cette belle, vraie loi et l’utilise. Ce n’est pas une découverte nouvelle mais, lorsque vous l’utiliserez et que vous en aurez les fruits de santé et d’harmonie, cela vous semblera nouveau et vous ressentirez que c’est votre propre découverte. »

Traduit par France Anne Dorrmann